Feuilleton #9 - Résilience by RadioWeb PCM

Aujourd’hui vous avez entendu Gérard Liéber rendant hommage au poète Frédéric Jacques Temple

Vous avez entendu Fanny Rudelle et Julien Guill lire un extrait de Calderon de Pasolini dans une traduction de Madame Michèle Fabien

Vous avez entendu Claude Maurice donner un extrait des Yeux Rouges de Dominique Ferret sur le conflit LIP,

Vous avez entendu des archives de ce conflit avec en particulier la voix de Charles Piaget

Vous avez entendu les commentaires de Florence March et Béla Czuppon lisant des extraits de Moi, Malvolio de Tim Crouch dans la traduction de Catherine Hargreaves

Vous avez entendu un extrait de la mise en scène de Georgio Strehler de la Tempête de Shakespeare.

Vous avez entendu un commentaire à ce sujet de Gérard Liéber

Vous avez entendu Sacha Guitry

Vous avez entendu un medley composé par Jean-Christophe Sirven de la plupart des musiques qu’il a composé pour la radio accompagné parfois de Vanessa Liautey.

Vous avez entendu des extraits de Cages de Dave Mac Kean lus par Vanessa Liautey, Stéphanie Marc, Julien Guill et Alex Selmane.

Un grand merci à toute l’équipe du Printemps des Comédiens,

À Jean Varéla de m’avoir proposé cette aventure artistique.

À Béla Czuppon et à toute l’équipe de la Baignoire

À tous les lecteurs qui m’ont fait confiance dans leur confinement pour lire des textes dans des conditions pas toujours faciles.

Merci à mes deux universitaires, Florence March et Gérard Liéber qui m’ont soutenu pendant toutes ces semaines pour fabriquer cette radio.

Merci à Jean-Christophe Sirven d’avoir relevé les défis musicaux les plus fous.

Merci aux auteurs, autrices, traducteurs et traductrices,

Pascal I love you,

Merci aux metteurs en scènes et metteuses en scènes, aux pionniers de nous montrer le chemin Merci Monnet, Monnette and son.

Cette webradio du Printemps des Comédiens PCM2020 vous a été proposée et présentée par Julien Bouffier.

Merci à vous tous qui nous avez suivis.

Et enfin merci à toi Jack.

Et à mes deux muses

A très bientôt, en vrai, j’espère.