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Cette année, Superville se concentre sur la Métropolisation.
Pour aborder ce thème de manière concrète, 9 lieux aux problématiques diverses ont été portés par des collectifs habitants comme sujets d’étude, de réflexion ou de chantier aux participants de Superville :
- Lamour Les Forges, à Rezé, un faubourg en voie de destruction
- La Nizanerie, Ile de Nantes, une rue qui expérimente l’autogestion citoyenne
- Le Caillou, quartier du bas chantenay, Nantes, une friche au bord de la crise de nerfs
- Le Bois Hardy, quartier du bas Chantenay, Nantes, un jardin en sursis
- Les B., Nantes, un habitat partagé
- B17, Nantes centre, un lieu ressource associatif
- Les Ronces, Nantes Est, un jardin autonome
- Grand Place, quartier Bottière, une maison du projet citoyenne
- La Beaujoire, Nantes Nord, la saga des stades
Durant toute la semaine, atelier Georges et atelier java se sont rendus sur les neuf lieux d’expérimentation, à la rencontre des habitants, des volontaires, et des collectifs d’architectes et autres disciplines.
Chaque rencontre a été l’occasion d’entretiens enregistrés qui ont constitué le support de la problématisation du plateau radiophonique de restitution, organisé en fin de semaine.
A la suite des récoltes sonores, deux interrogations ont émergé pour structurer deux épisodes radiophoniques :
> Espaces communs ou produits métropolitains ? animé par atelier Georges
Fabriquer la ville c’est garantir l’intérêt général. Cette pierre angulaire de l’action publique est la mission des collectivités locales, appuyées par leurs outils d’aménageurs à l’image de la Zone d’Aménagement Concerté. Cependant la ZAC semble parfois entrer en contradiction avec les expérimentations menées par les occupants des sites de Superville.
. Invités : Laurent de B17, Camille du collectif Saga et Mathieu de la Nizanerie
> Allô la Métropole, ici la Terre ! animé par atelier java
Le dialogue entre acteurs de l’aménagement du territoire, autant civiles qu’institutionnels, n’est pas une mince affaire. Trois parties composent la discussion :
La communication dite top-down, de haut en bas, c’est à dire qui émane des collectivités, des institutions et toute figure métropolitaine décisionnaire sur les faits urbains, vers la société civile, la communication verticale inverse, bottom-up, de bas en haut et donc produite par la société civile vers la Métropole et enfin la possibilité d’une co-construction.
. Invités : Laura du Jardin des Ronces, Cécile de Lamour les Forges et Frantz un sociologue urbaniste d’Espasces Possibles et à l’organisation de Superville
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